Les horloges sont des objets qui disparaissent.

Je garde l’objet, mais je le détourne pour réaffirmer que le temps nous permet de nous connaître mieux, d’affirmer notre personnalité, de trouver peu à peu notre singularité, à l’image de ces bad boys qui s’invitent à la maison.

Ils sont bad boys, car ils luttent contre cette notion carrée, réglée, que nous impose la lecture du temps.

Ils ont tous une relation différente au temps : le dandy met plus de temps pour se préparer, le bad boy qui a l’œil au beurre noir aime sûrement se balader dans la ville la nuit, Arto a du mal à se lever le matin et ne prend pas toujours le temps de se peigner, les ados ont souvent un rythme décalé, un autre n’aime pas cette obligation de se raser quotidiennement – ne pas se raser, c’est comme être déjà un peu en vacances…

Ces portraits sont esquissés avec grande simplicité et peu d’effets, puisque le visage est créé par le cadran et les singularités du visage avec les marquages déplacés.

Cette collection se compose de cinq modèles : bad boy arto, bad boy with romantic eyebrowns, bad boy with a black eye, bad boy with 3 days stubble, bad boy dandy. Lequel de ces bad boys a votre préférence ?

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